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#Où se pose le ciel ?
« Ses œuvres témoignent de la capacité en chaque être vivant, quelle que
soit sa catégorie, d’une mutation qui peut être bénéfique comme
dangereuse. A travers les différentes figures qu’elle convoque - humain,
animal, végétal, minéral, déchet - souvent entremêlées les unes aux
autres, c’est avant tout une histoire commune qui est racontée, l’histoire
de leurs interactions fécondes ou destructrices.
Les matériaux qu’elle utilise révèlent les liens symboliques qui évoquent
ce mouvement perpétuel de mutation entre la vie (naissance), la mort
(le passage, la mémoire) et la renaissance (régénération). Ils sont fragiles
et parfois éphémères, leur dégradation, leur réutilisation perpétuelle font
partie de son processus créatif qui constitue, en soi, une modalité
possible de préservation des équilibres invisibles du vivant, qu’elle
tente inlassablement de faire affleurer dans le champ d’une perception,
d’une « conscience » commune ». Frédéric Elkaïm.
« Ses œuvres témoignent de la capacité en chaque être vivant, quelle que
soit sa catégorie, d’une mutation qui peut être bénéfique comme
dangereuse. A travers les différentes figures qu’elle convoque - humain,
animal, végétal, minéral - souvent entremêlées les unes aux
autres, c’est avant tout une histoire commune qui est racontée, l’histoire
de leurs interactions fécondes ou destructrices.
Les matériaux qu’elle utilise révèlent les liens symboliques qui évoquent
ce mouvement perpétuel de mutation entre la vie (naissance), la mort
(le passage, la mémoire) et la renaissance (régénération). Ils sont fragiles
et parfois éphémères, leur dégradation, leur réutilisation perpétuelle font
partie de son processus créatif qui constitue, en soi, une modalité
possible de préservation des équilibres invisibles du vivant, qu’elle
tente inlassablement de faire affleurer dans le champ d’une perception,
d’une « conscience » commune ».
Frédéric Elkaïm.
#Danse avec moi
« Ses œuvres témoignent de la capacité en chaque être vivant, quelle que
soit sa catégorie, d’une mutation qui peut être bénéfique comme
dangereuse. A travers les différentes figures qu’elle convoque - humain,
animal, végétal, minéral - souvent entremêlées les unes aux
autres, c’est avant tout une histoire commune qui est racontée, l’histoire
de leurs interactions fécondes ou destructrices.
Les matériaux qu’elle utilise révèlent les liens symboliques qui évoquent
ce mouvement perpétuel de mutation entre la vie (naissance), la mort
(le passage, la mémoire) et la renaissance (régénération). Ils sont fragiles
et parfois éphémères, leur dégradation, leur réutilisation perpétuelle font
partie de son processus créatif qui constitue, en soi, une modalité
possible de préservation des équilibres invisibles du vivant, qu’elle
tente inlassablement de faire affleurer dans le champ d’une perception,
d’une « conscience » commune ».
Frédéric Elkaïm.
#À la vie
« Ses œuvres témoignent de la capacité en chaque être vivant, quelle que
soit sa catégorie, d’une mutation qui peut être bénéfique comme
dangereuse. A travers les différentes figures qu’elle convoque - humain,
animal, végétal, minéral - souvent entremêlées les unes aux
autres, c’est avant tout une histoire commune qui est racontée, l’histoire
de leurs interactions fécondes ou destructrices.
Les matériaux qu’elle utilise révèlent les liens symboliques qui évoquent
ce mouvement perpétuel de mutation entre la vie (naissance), la mort
(le passage, la mémoire) et la renaissance (régénération). Ils sont fragiles
et parfois éphémères, leur dégradation, leur réutilisation perpétuelle font
partie de son processus créatif qui constitue, en soi, une modalité
possible de préservation des équilibres invisibles du vivant, qu’elle
tente inlassablement de faire affleurer dans le champ d’une perception,
d’une « conscience » commune ».
Frédéric Elkaïm.
#Burn
« Ses œuvres témoignent de la capacité en chaque être vivant, quelle que
soit sa catégorie, d’une mutation qui peut être bénéfique comme
dangereuse. A travers les différentes figures qu’elle convoque - humain,
animal, végétal, minéral - souvent entremêlées les unes aux
autres, c’est avant tout une histoire commune qui est racontée, l’histoire
de leurs interactions fécondes ou destructrices.
Les matériaux qu’elle utilise révèlent les liens symboliques qui évoquent
ce mouvement perpétuel de mutation entre la vie (naissance), la mort
(le passage, la mémoire) et la renaissance (régénération). Ils sont fragiles
et parfois éphémères, leur dégradation, leur réutilisation perpétuelle font
partie de son processus créatif qui constitue, en soi, une modalité
possible de préservation des équilibres invisibles du vivant, qu’elle
tente inlassablement de faire affleurer dans le champ d’une perception,
d’une « conscience » commune ».
Frédéric Elkaïm.
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Niki Neuts